A ce jour, jeudi 12 mars en Italie, nous sommes 15 133 infectés par le virus corona, 1016 morts, 583 positifs parmi les agents de santé.
Dans la nuit du 9 mars 2020, le Premier ministre Giuseppe Conte a annoncé une loi immédiate par laquelle le gouvernement établit une « zone de sécurité » à travers le pays.
L’indication pour les citoyens est de rester chez eux, d’où il sera possible de partir pour des vivres et des urgences. Les écoles et les universités seront fermées jusqu’au 3 avril, les bars et restaurants doivent fermer à 18 h, tout comme tous les bureaux où le travail électronique a été activé.
Les mesures sont appropriées, nécessaires, probablement tardives, pour la protection de la santé des citoyens et de certains secteurs du monde du travail.
Mais toute la production, la structure de distribution et les moyens de transport continuent de fonctionner.
USB surveille tous les secteurs et toutes les installations de production, de logistique et de service pour assurer une sécurité maximale contre toute tentative de réduction des salaires.
Dans certaines réalités du travail, comme à Bartolini di Caorso (logistique), où les normes de sécurité contenues dans les décrets gouvernementaux ne sont pas respectées, l’USB a sanctionné la grève, car nous avons proclamé l’état d’agitation dans tous les entrepôts de la logistique. USB indique qu’une grève doit être déclenchée dans tous les lieux de travail lorsque les règles de sécurité ne sont pas respectées.
Aujourd’hui, plus que jamais, la légitimité totale de notre dénonciation forte et tenace des responsabilités passées et actuelles en matière de santé publique, corporatisation, privatisation, asservissement à un budget équilibré, démantèlement du public en faveur du secteur privé. , l’inutilité du secteur privé dans les situations d’urgence et la régionalisation ressort plus clairement que jamais.
Tout ce que nous savons et avons toujours crié à haute voix aujourd’hui est confirmé comme vrai, sans que personne ne puisse contester la justesse de notre analyse et de nos luttes.
Cependant, nous sommes obligés, dans cette phase d’urgence, de ne nous limiter souvent qu’aux plaintes syndicales. Dans cette phase d’urgence, il est impossible d’imaginer une mobilisation de masse pour soutenir nos raisons.
Sur les lieux de travail, l’air est devenu rare et lourd, les lieux de culture sont fermés, des écoles aux universités et musées. Il existe une disposition encore plus prononcée à la solution personnelle qui se greffe sur une tendance à l’individualisme et à l’égoïsme social que nous avons maintes fois placée au centre de nos réflexions et qui ne se consolidera que dans un avenir immédiat.
Une impulsion autoritaire émerge cachée sous le souffle de l’unité nationale, ce qui peut ouvrir la porte à la criminalisation de ceux qui osent dénoncer des retards, une responsabilité directe de l’Union européenne. Nous nous engageons quotidiennement à rompre ce climat d ‘ »unité interclasse », à commencer par la dénonciation du démantèlement du système national de santé publique, qui est à l’origine des difficultés rencontrées aujourd’hui pour bloquer la pandémie du coronavirus. En plus de dénoncer cette réalité incontournable, nous nous battrons pour revendiquer des garanties et des protections non seulement en termes de santé mais aussi en termes de salaires et de préservation de l’emploi, pour ceux qui n’ont pas l’intention de renoncer à leur droit de critique et d’action.
Une analyse exacte est en cours de réalisation que le système capitaliste ne peut que détruire la planète. C’est ce qui se passe, à travers des formes toujours nouvelles qui confirment la théorie classique du matérialisme dialectique, en l’occurrence à travers une véritable pandémie violente qui ne connaît pas de règles, ne se plie pas à la volonté et aux besoins du profit. Elle révèle toute la fugacité d’un système incapable de défendre adéquatement l’humanité.
Au lieu de cela, la réaction de la Chine a été déterminée, prête dans la mesure du possible, à tous les tests parce que l’appareil d’État n’a pas douté, a choisi la protection de la santé plutôt que l’économie, a risqué devenir invulnérable pour leur peuple en appliquant des règles de conduite farouches que chacun a respectées car elles reconnaissent l’autorité des orientations qui leur sont données.
Cependant, nous sommes obligés, dans cette phase d’urgence, de ne nous limiter souvent qu’aux plaintes syndicales. Dans cette phase d’urgence, il est impossible d’imaginer une mobilisation de masse pour soutenir nos raisons.
Sur les lieux de travail, l’air est devenu rare et lourd, les lieux de culture sont fermés, des écoles aux universités et musées. Il existe une disposition encore plus prononcée à la solution personnelle qui se greffe sur une tendance à l’individualisme et à l’égoïsme social que nous avons maintes fois placée au centre de nos réflexions et qui ne se consolidera que dans un avenir immédiat.
Une impulsion autoritaire émerge cachée sous le souffle de l’unité nationale, ce qui peut ouvrir la porte à la criminalisation de ceux qui osent dénoncer des retards, une responsabilité directe de l’Union européenne. Nous nous engageons quotidiennement à rompre ce climat d ‘ »unité interclasse », à commencer par la dénonciation du démantèlement du système national de santé publique, qui est à l’origine des difficultés rencontrées aujourd’hui pour bloquer la pandémie du coronavirus.
En plus de dénoncer cette réalité incontournable, nous nous battrons pour revendiquer des garanties et des protections non seulement en termes de santé mais aussi en termes de salaires et de préservation de l’emploi, pour ceux qui n’ont pas l’intention de renoncer à leur droit de critique et d’action.
Ce à quoi nous pouvons nous attendre et ce pour quoi nous devons travailler, c’est que cela, qui risque d’être une grande tragédie, servira vraiment à changer l’axe de l’histoire, en la faisant nous appartenir jusqu’à hier et la plupart des gens l’ont nié à la conscience de masse En d’autres termes, changer la situation actuelle est non seulement
nécessaire, mais peut être possible aujourd’hui, au milieu de la guerre sociale qui éclatera en raison d’une crise qui sera probablement beaucoup plus grave que celle qui a éclaté en 2008.
DÉPARTEMENT USB INTERNATIONAL