Clôturant ses activités au cours de la 103ème session du CIT, la FSM a organisé une réunion dont laquelle elle a discuté et déclaré que le droit de grève sera défendu par tous les moyens et par toutes les organisations syndicales de classe.
« Le droit de grève est la mère des droits, c’est le droit de se battre pour nos intérêts », a déclaré les participants après avoir assisté aux discours de George Mavrikos, Secrétaire Général de la FSM et Maximos Aligisakis, professeur à l’Université de Genève.
« La FSM, organisant cette conférence au siège de l’OIT, déclare aux employeurs et aux gouvernements qui les soutiennent qu’elle défend le droit de grève et toutes les formes de lutte.
La FSM appelle les employeurs à arrêter la manipulation et les spéculations de la Convention 87, car ils savent que le droit de grève n’a pas été offert pour la classe ouvrière d’aucun pays mais qu’il était «de facto» revendiqué par les luttes sanglantes et héroïques des travailleurs.
La FSM appelle les organisations syndicales et les travailleurs à protéger le droit de grève avec toutes les mesures nécessaires dans les usines, dans les rues, dans la société et dans les parlements », a annoncé le Secrétaire Général de la FSM.